Une étude menée par RTA Intelligence Inc. révèle que l’intelligence artificielle pourrait transformer en profondeur l’industrie cinématographique canadienne. Selon leurs analyses, l’IA permettrait de réduire jusqu’à 40 % des coûts de production, rendant la création plus accessible aux artistes et réalisateurs émergents.
L’équipe de recherche s’est notamment appuyée sur le film Maria Chapdelaine (2021) pour établir un coût moyen de 8 000 $ par plan cinématographique. Des technologies comme la prévisualisation automatisée, les environnements virtuels générés par IA ou encore l’optimisation de la post-production pourraient considérablement alléger ces dépenses.
Pour illustrer ce potentiel, RTA Intelligence met en avant Oceanne.ai, un projet artistique unique développé par un seul créateur québécois grâce à l’IA. Ce projet rassemble un catalogue musical, une série web immersive, des performances scéniques, ainsi qu’un long métrage et un opéra rock en préparation. Une démonstration que l’IA peut désormais offrir à un individu la puissance créative autrefois réservée à de grandes équipes.
Au-delà des aspects techniques, l’étude souligne un enjeu stratégique : cette révolution pourrait permettre à de nombreux créateurs – artistes autochtones, communautés francophones ou cinéastes des régions éloignées – d’accéder plus facilement aux outils de production. Elle contribuerait aussi à multiplier les œuvres canadiennes sans nécessiter d’investissements publics supplémentaires.
« Le Canada peut devenir pionnier de cette révolution créative ou rester simple spectateur », avertit Pierre Côté, fondateur de RTA Intelligence. Alors que plusieurs pays investissent déjà massivement dans ce secteur, le choix du Canada déterminera sa place sur la scène cinématographique internationale.Une étude menée par RTA Intelligence Inc. révèle que l’intelligence artificielle pourrait transformer en profondeur l’industrie cinématographique canadienne. Selon leurs analyses, l’IA permettrait de réduire jusqu’à 40 % des coûts de production, rendant la création plus accessible aux artistes et réalisateurs émergents.
L’équipe de recherche s’est notamment appuyée sur le film Maria Chapdelaine (2021) pour établir un coût moyen de 8 000 $ par plan cinématographique. Des technologies comme la prévisualisation automatisée, les environnements virtuels générés par IA ou encore l’optimisation de la post-production pourraient considérablement alléger ces dépenses.
Pour illustrer ce potentiel, RTA Intelligence met en avant Oceanne.ai, un projet artistique unique développé par un seul créateur québécois grâce à l’IA. Ce projet rassemble un catalogue musical, une série web immersive, des performances scéniques, ainsi qu’un long métrage et un opéra rock en préparation. Une démonstration que l’IA peut désormais offrir à un individu la puissance créative autrefois réservée à de grandes équipes.
Au-delà des aspects techniques, l’étude souligne un enjeu stratégique : cette révolution pourrait permettre à de nombreux créateurs – artistes autochtones, communautés francophones ou cinéastes des régions éloignées – d’accéder plus facilement aux outils de production. Elle contribuerait aussi à multiplier les œuvres canadiennes sans nécessiter d’investissements publics supplémentaires.
« Le Canada peut devenir pionnier de cette révolution créative ou rester simple spectateur », avertit Pierre Côté, fondateur de RTA Intelligence. Alors que plusieurs pays investissent déjà massivement dans ce secteur, le choix du Canada déterminera sa place sur la scène cinématographique internationale.